mercredi 27 octobre 2010

Poissons de Meno

Nous continuons de passer le plus clair de notre temps sous l’eau. A Meno, j’ai même eu la chance de palmer en compagnie d’une tortue d’environ un mètre… inoubliable ! Malheureusement pas pris notre petit appareil étanche ce jour là.







Epave d’avion de guerre japonais

A propos d’épave, j’en profite pour vous parler de celle de l’USS Liberty et faire une petite pub promise à Florian le français, Jenny la balinaise, et Eric le belge, qui tiennent le club de plongée Airies, à l’entrée de Tulamben sur Bali.
Le navire de guerre américain USS Liberty fu coulé par l’armée japonaise en 1942. Remorqué sur les côtes de Tulamben quelques années plus tard, il fut repoussé sous les eaux par l’éruption du mont Agung de 1963.
Une épave recouverte de lave est un terrain particulièrement propice au développement des coraux, et donc d’une vie sous-marine intense. Surtout de nuit, quand on peut surprendre les gros poissons dormant au fond des différentes cales… que du bonheur !
Les tarifs d’Airies sont imbattables : 100€ les 7 plongées, transfert depuis n’importe où sur l’île inclus. Bungalows à 8€ la nuit petits dej inclus. Ambiance décontractée, pas pompe à fric, barbecues le soir… allez-y !
On continue avec encore quelques poissons de Meno :






jeudi 21 octobre 2010

Gili Meno

Alors là ! Voisine de Gili Trawangan, Gili Meno est encore plus petite (3 km2), plus déserte,plus paradisiaque. C’est à ce jour le plus bel endroit que nous ayons vu au monde. Quiconque y pose les pieds rêve instantannément d’y finir ses jours.


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Anne prend son bain de 6h du mat

Les plages sont d’une tranquilité…


« L’extraordinaire se trouve sur le chemin des gens ordinaires. » Paulo Coehlo




GiliAir, île voisine, vue de Gili Meno. A l’arrière plan, le soleil se lève sur le volcan Rinjani de Lombok.




vendredi 15 octobre 2010

Snorkeling

Si elle est magnifique en surface, Trawangan l’est encore plus sous les eaux. Alors nous nous adonnons à l’un de nos hobbies : le snorkeling (palmes et tuba).



Dès 5 mètres du bord, poissons et coraux apparaissent. Et à une dizaine de mètres du rivage, un canyon profond de 20 mètres, qu’on ne se lasse pas d’arpenter…



V comme voluptueux ballet

Même Maxime s’y met







dimanche 10 octobre 2010

Gili Trawangan

85 centimes… c’est le prix du ticket du ticket d’entrée pour le paradis !




« Allons-y, puisque le jour se lève encore… »

Nous prenons ce petit bateau pour rallier Lombok à Gili Trawangan (10 km, 40 mn). Une petite île de 8 km carrés, bordée sur l’intégralité de son pourtour de jolies plages de sable blanc, et d’eaux d’une limpidité parfaite…




A l’arrière plan, on aperçoit les plages désertes de Gili Meno, l’île voisine. On vous en reparlera plus tard…


Pas de voiture ni autre engin à moteur sur Trawangan. Juste quelques vélos et cidomos (calèches) pour les moins marcheurs. On s’y sent dans une atmosphère à part, à l’écart du monde, que seule les petites îles savent dégager. Le soir, l’ambiance est à la fête décontractée et les bars de plage abreuvent les routards de musique reggae…


jeudi 7 octobre 2010

Lombok, l’île piment

Appelée l’île piment en raison de sa forme évocatrice, Lombok est plus sauvage, moins développée, et plus pauvre que sa grande sœur Bali.





C’est en ferry que nous rallierons Bali à Lombok (70 km, 4 heures, 2,50€ par adulte).


Nous aimons l’atmosphère des ferrys asiatiques. Pendant que les touristes pressés s’agglutinent entre eux dans des bateaux rapides, nous on a le temps. On savoure ce moment d’immersion dans la vie locale.
Et c’est parfois pittoresque. L’embarquement, tout d’abord avec une course folle vers les meilleures places devant un écran enchainant des sitcoms d’une mièvrerie qui ferait passer Santa Barbara pour un chef d’œuvre. Les moins rapides finiront assis par terre sur le pont, au milieu des cordes à linge tendues par les voyageurs au long cours, ralliant des iles plus lointaines en plusieurs jours.
Comme d’habitude, les boucles blondes de Noa, très singulières ici, attirent tous les regards et nombreux sont les passagers qui lui tendent tantôt des fruits, tantôt des gâteaux ou bonbons pour attirer ses faveurs. Les vendeurs ambulants se faufilent entre les corps allongés, et nous savourons d’excellents nasi campur (riz agrémenté de poisson grillé, légumes sautés, poulet mariné, noix de coco râpée, cacahuètes pilées,beignets au soja, et d’une succulente sauce pimentée), payés 40 centimes.


Les jolies côtes de Lembar

A Lombok, nous entrons en territoire à majorité musulmane, comme dans toutes les îles indonésiennes sauf Bali. Nous choisissons de nous installer à Mataram, la capitale, la veille de la fin du Ramadan, espérant ainsi assister ainsi à des moments de fête et de liesse populaire…



Même dans la capitale, le cidomo demeure le transport collectif le plus utilisé

Mauvaise idée ; les habitants ont bien fait la fête, mais dans l’intimité de leurs foyers respectifs. Les rues de la capitale étaient désertes ! Seuls les muezzins des nombreuses mosquées avoisinantes, exerçant leurs talents toute la nuit, ont mis un peu d’animation.
Nous filons ensuite vers Senggigi, et retrouvons non sans plaisir les couleurs des soleils couchants sur la mer.


dimanche 3 octobre 2010

Pêcheurs balinais

Comme sur toute île, la pêche occupe une place essentielle de l’activité balinaise.
Généralement, pendant que monsieur trempe sa ligne, madame vend les poissons sur le bord de la route.
Pour notre part, nous préferons attendre directement les bateaux sur le bord de la plage. Nous payons 45 cents le poisson de 400 ou 500 grammes… un régal.

Bateau typique d’Indonésie


Maison de pêcheur

Station service, ça évite le ravitaillement sur la plage

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